Parmi les enragés contre les journalistes d'El Hiwar Ettounsi, on trouve la vipère Soumaya Ghannouchi, fille du gourou de la secte terroriste Ennahdha, Rached Ghannouchi. Une information importante s'impose, la fille à papa est la rédactrice en chef du «Meem Magazine» et elle n'hésite pas à utiliser ce magazine Bidon pour taper sur les adversaires du parti islamiste. Au fil des ans, après plusieurs de ses interventions, j'ai remarqué que son papa lui a transmis que la culture de la haine, de la violence, de l'escroquerie et du mensonge.

Il importe de rappeler que le 13 octobre 2019, dans la liesse de la victoire de l'ultra-conservateur, Kaïs Saïed, au second tour de la présidentielle, ses partisans ont agressé physiquement, deux journalistes de la chaîne El Hiwar Ettounsi, qui assuraient la couverture des festivités organisées à l’avenue Habib Bourguiba de Tunis. Le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), a fermement condamné cette agression et a assuré que le syndicat s'opposera à toute atteinte contre la liberté de la presse. Et ce n'est pas tout ! le SNJT a publié, un rapport spécial épinglant toutes les agressions qu’ils ont subies durant la période électorale englobant les deux scrutins, législatif et présidentiel. En effet, 79 journalistes ont été agressés physiquement ou verbalement ou ont été interdits de travailler dans 22 gouvernorats. Pendant ce temps, les autorités tunisiennes continuent de dormir !

Par ailleurs, un juge qui s'appelle Hammadi Rahmani a publié le 14 octobre 2019, un statut sur son compte Facebook, appelant « à la fermeture de la chaîne El Hiwar Ettounsi, et au jugement de ses responsables à la suite de l’exécution de plans criminels et de complots avérés afin de protéger la liberté des médias ». « Sinon, le prix sera cher payé » a-t-il écrit. Suite à ce statut grave et injustifié, la chaîne El Hiwar Ettounsi a décidé de porter plainte contre ce juge qu'elle accuse de violence verbale et d'appel à la haine à l'encontre de ses journalistes. Quoi qu'ils disent ces hystériques obscurantistes, voici les faits qui ne seront jamais oubliés et pardonnés : depuis l'existence de la secte terroriste Ennahdha en 1981 à nos jours, tous les attentats terroristes en Tunisie contre les civils innocents, les politiques, les forces de l'ordre et les militaires ont été perpétrés par des islamistes. Et vous continuez à jouer encore la victimisation à outrance ! Pauvres minables.

Encore une fois, je tiens à exprimer mon soutien et ma solidarité à toute l'équipe d'El Hiwar Ettounsi, ainsi qu'à tous les journalistes tunisiens.